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Ceci n'est pas une ***iPod 🪬 Cast***


في عصر قديم، عاشَتْ أسطورة موسى وشهيرة الشهيرة، الجميلة والأنيقة. لم تكن حياته مجرد قصة عادية، بل كانت كالحكايات الساحرة التي تجذب القلوب والعقول. ولد لهما ابن، سماه موسى، كما ورد في السجلات القديمة. ولكن هل كانت نهاية القصة؟ لا، بالطبع لا. لأن في عالم الخيال والحكايات، كل شيء ممكن، حتى السحر والمفاجآت الغير متوقعة. فلنتابع القصة ونرى ما الذي يخبئه المستقبل لموسى ولسعيه إلى السعادة في عالم سحري وخيالي

¡We🔥Come!

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****Sync 🪬 Studio****

*** *** Y *** ***

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Jérusalem ✨ Céleste


Le soleil encore timide du matin pénètre à travers les vitraux colorés de l'église Saint-Loup, illuminant d'une lumière tamisée les ornements baroques des confessionnaux. Ces cabines, sculptées avec soin et ornées de dorures, témoignent d'une époque révolue. Autrefois au cœur de la vie spirituelle des campagnes, elles ont peu à peu été abandonnées à l'ère de l’industrialisation.

Dans un monde où le rythme des saisons et la soumission aux rois structuraient les vies, l'Église catholique jouait le rôle de guide et de réconfort. Mais avec l'avènement des usines, des salaires mensuels et des journées cadencées par la sirène des ateliers, l'Église perdit sa place centrale. L’éducation religieuse céda la place aux écoles publiques, dont la mission était de forger des ouvriers dociles et efficaces, adaptés au nouveau monde des machines.

Les murs de l'église racontent encore cette époque révolue à travers des peintures vibrantes et narratives : l'Annonciation, la Nativité, le Baptême de Jésus, la Dernière Cène, la Crucifixion et, bien sûr, la Résurrection. Et au centre de tout, le Christ en croix, symbole du sacrifice ultime, invite les fidèles à méditer sur le pardon et l’humilité. Dans cette église, comme dans toutes celles du catholicisme, une vérité transcendante est suggérée : l'Église n’est pas seulement un lieu de culte, mais un portail vers la Jérusalem céleste, le point de départ d'une nouvelle ère pour l'humanité.


La rencontre inattendue


Ce dimanche matin, malgré les sièges clairsemés, des fidèles âgés se rassemblent par habitude, comme emportés par une inertie spirituelle. Parfois, quelques jeunes y entrent par curiosité, presque par défi. Neo, un jeune homme en quête d’inspiration, pousse la porte de l’église.

Assis dans un coin discret, il observe la nef, ses fresques et ses visages familiers. Puis, un éclat de voix le distrait : deux jeunes femmes belges discutent gaiement près de l’entrée. Leur fraîcheur contraste avec l’austérité ambiante. Neo, intrigué, s'approche et entame une conversation.

— Excusez-moi, êtes-vous baptisées ?
— Oui... répond l’une des filles, un peu surprise.
— Vous savez comment je pourrais faire pour recevoir ce sacrement ? Je crois que j’ai manqué cette étape dans ma vie.
— Il faudrait demander aux prêtres... Mais le plus important, c’est de croire en Dieu, dit l'autre avec un sourire bienveillant.
— Oui, bien sûr, c'est le plus important... Dites, aimeriez-vous vivre 200 ans ?

Leur sourire s'efface légèrement, remplacé par une lueur d’étonnement et de méfiance. Neo perçoit leur trouble, mais feint de ne pas le remarquer.

Je travaille sur un livre qui parle de voyages interstellaires, — commence doucement Neо, avec un regard énigmatique, captant l'attention des deux jeunes femmes. — Saviez-vous que, dans le cadre d’un projet secret de la CIA, un million de personnes seront sélectionnées pour partir vers une étoile lointaine ?

L’une des femmes lève un sourcil, un sourire incrédule aux lèvres, mais l’autre, plus curieuse, le pousse à continuer.

Un million de personnes ? Pour aller où exactement ?

Neо s’appuie contre un banc en bois, le doigt pointant légèrement vers le plafond voûté de l’église.

Pas où, mais vers quoi : un nouveau monde, une étoile qui pourrait abriter l’avenir de l’humanité. Le projet s’appelle "Noé 2.0." Vous connaissez l’histoire de l’arche de Noé, bien sûr ? Imaginez cela, mais à une échelle cosmique.

Les femmes échangent un regard sceptique, mais il continue, plus sérieux.

En réalité, ce n’est pas la première tentative. La CIA a déjà lancé un programme similaire il y a quelques années. Ils l’ont appelé "Resurrection".

Et qu’est-ce que c’était ?

Un projet incroyable, mais tragique. Un million de personnes, triées sur le volet. Les critères ? Être isolé, ne pas avoir d’attaches familiales ou sociales fortes, et, surtout, être prêt à disparaître complètement. Ces gens étaient déclarés morts pour leurs proches, officiellement décédés dans des circonstances mystérieuses, comme des accidents de prison ou des maladies rares.

Les deux jeunes femmes semblent fascinées malgré elles.

Mais ce n’était qu’un début, un "test". Les "ressuscités", comme ils les appelaient, ont été envoyés vivre ensemble dans une ville artificielle construite au milieu du désert. Un véritable paradis, pensé pour une coexistence parfaite. Mais quelque chose a terriblement mal tourné.

Quoi donc ? demande l’une des femmes, visiblement captivée.

Neо baisse les yeux un instant, comme s’il hésitait à révéler davantage. Puis il reprend :

Ils n’ont pas pu vivre en harmonie. Les conflits humains, la jalousie, la peur… tout cela a resurgi. Finalement, la plupart d’entre eux ont fini dans des prisons souterraines, et le projet a été abandonné. Mais la CIA n’a pas renoncé. Cette fois, ils veulent recruter des gens profondément croyants. Des individus capables de suivre une nouvelle foi, appelée "Solysium".

Solysium ?

Une religion créée pour le voyage interstellaire. Le but ? Maintenir la paix et l’ordre au sein de la communauté, même sur plusieurs générations. Parce que… vous comprenez, le voyage jusqu’à l’étoile prendra environ deux mille ans. Ni les sélectionnés, ni leurs enfants, ni même leurs petits-enfants ne vivront assez longtemps pour voir la nouvelle planète. Pour cela, il faut une foi inébranlable et un secret absolu. Seuls ceux capables de vivre et de mourir avec cette conviction seront choisis.

Un silence s’installe. Les jeunes femmes semblent à la fois troublées et fascinées.

Et tout cela, c’est dans votre livre ? demande finalement l’une d’elles, à mi-voix.

Neо esquisse un sourire énigmatique.

Peut-être. Ou peut-être pas.

À cet instant, les cloches de l’église sonnent, annonçant le début de la messe. Les femmes jettent un dernier regard à Neо avant de s’éloigner pour rejoindre les bancs, leur conversation suspendue mais leur curiosité éveillée. Neо reste en retrait, observant les fresques et les visages des fidèles, un éclat mystérieux dans le regard.


La messe commence


Le prêtre entre en procession, suivi des servants d’autel portant des cierges. Les chants s’élèvent, unissant les fidèles dans une liturgie intemporelle. Après l’ouverture, le prêtre s'adresse à l’assemblée :

— En ce dimanche, rappelons-nous que notre foi est un voyage, parfois long, mais toujours éclairé par l’amour de Dieu.

Les lectures du jour évoquent le pardon et la patience. L’évangile raconte la parabole du fils prodigue, rappelant aux fidèles l'importance de l’espoir et de la réconciliation.

Lorsque vient le moment de l’homélie, le prêtre souligne :
— Tout comme le Christ a accepté sa croix, nous sommes appelés à porter nos propres fardeaux avec dignité et foi. Chaque génération prépare la voie pour la suivante, et notre mission est de préserver l’espérance.

Neo, assis au fond, écoute attentivement. Les mots du prêtre semblent étrangement résonner avec ses réflexions sur le projet interstellaire. Alors que l’Eucharistie approche, il s’interroge : la foi et le sacrifice sont-ils des concepts universels, nécessaires à la survie de toute civilisation, qu’elle soit terrestre ou interstellaire ?



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⁎⁎⁎ ⁎⁎⁎ ¡Dies Irae! ⁎⁎⁎ ⁎⁎⁎

*** *** YYY *** ***

¡Gloire à Dieu, qui a accordé la seconde venue et la vie éternelle dans l'infini de l'espace cosmique!



I.N.R.I.


Behold the holy temple’s grace,
Where servants gather, bound in faith,
To open wide the sacred door,
A portal to Jerusalem’s shore.
The heavenly city, where it began,
The supper's secret, a divine plan.

There, in shadows of the fateful night,
The Savior spoke of love and light.
His followers heard a truth profound,
That shook the ages, broke the ground.
Yet, He foresaw the traitor's kiss,
And Peter’s denials in the mist.

The cock would crow; the truth would sting,
The Son of Man, the suffering King.
Nailed through hands, His body torn,
On that cruel cross, our sins He mourned.
But did He know, as pain surged deep,
His death would end in heavenly leap?

Could He be sure, on the cross of shame,
That resurrection would stake His claim?
What if the plan had gone astray,
And death held Him till judgment day?

Yet on the third, as Scriptures tell,
He rose again, broke death’s cold spell.
Still, one of twelve, the doubting heart,
Refused to trust, held faith apart.
Thomas, who saw the blind regain sight,
And Lazarus walk from death’s dark night.

Even then, he could not believe,
Until the wounds he did perceive.
His fingers traced the scars of strife,
And faith was born: eternal life.

This is the portal we now embrace,
A bridge to those transcendent days.
The heavenly city, through temple walls,
Where grace redeems, and mercy calls.
Each time we gather, in sacred prayer,
We walk with Christ, His burdens share.

O Shepherd of the holy flock,
Guide us to the eternal rock,
Where faith and truth forever stand,
In God’s celestial promised land.



(La scène se déroule à la sortie de l'église, après la fin de la messe.)

Les fidèles quittent le lieu saint, les esprits apaisés, le pain sacré partagé et consommé. Près des lourdes portes sculptées du temple, un groupe de mendiants attend discrètement les fidèles. Parmi eux, un homme aux vêtements usés, le regard vif mais fatigué, tend une main tremblante vers les passants.

Neo (s’arrêtant devant lui, avec un mélange de curiosité et de détermination) :
— Vous connaissez le projet « Noé 2.0 » ?

Le mendiant (le regard fuyant, avec un soupçon de lassitude) :
— Nous ne savons rien des affaires religieuses. On demande seulement une petite aumône pour le pain quotidien, c'est tout.

Neo (avec un léger sourire, en fixant le mendiant) :
— Je te connais. Le jeudi, tu vas dans les bars du coin, en marchant parmi les tables. Tu pourrais être millionnaire si tu voulais. Mais à la place, tu dors dehors, sous les étoiles.

Le mendiant (se retournant légèrement, visiblement piqué par ces mots) :
— Vous ne savez rien de moi.

Neo (d'un ton plus direct, en baissant légèrement la voix) :
— Peut-être. Mais toi, tu sais tout des autres. Tu connais mieux les habitants de cette ville que quiconque. Tu lis les gens d’un seul regard : leurs croyances, leurs faiblesses… Peut-être même leur intelligence émotionnelle.

(Un moment de silence. Les autres mendiants échangent des regards incertains. Le mendiant principal semble hésiter, comme prêt à partir.)

Neo (posant doucement une main ferme sur son épaule) :
— Écoute. Viens avec moi. Je ne vais pas seulement t’apprendre à échanger tes talents contre quelques pièces que tu dépenseras pour des illusions... Je vais t’apprendre à sauver les âmes.

(Le mendiant le regarde enfin dans les yeux, intrigué mais méfiant. L’instant semble suspendu, comme si une décision cruciale était sur le point d’être prise. Les portes de l’église se ferment doucement derrière eux, et le bruit des rues commence à reprendre son cours.)



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*** *** YYY *** ***

¡Gloire à Dieu, qui a accordé la seconde venue et la vie éternelle dans l'infini de l'espace cosmique!



Hortus Paradisi


High above the Earth, in the void so vast,
A city of stars in its orbit cast,
A ring where gravity bends and sways,
A temple aloft in celestial rays.

But hark, let us wander to ages past,
To the hill of Golgotha, where shadows were cast.
Where the Son bore his burden with steps so true,
Through the jeering crowds, the scoffers in view.

No plea for escape, no faltering word,
He carried the cross, his spirit unstirred.
Up to the hill where his fate was sealed,
Where love met pain, and truth revealed.

The hammer rang loud as the nails bit deep,
Through his hands and his feet, their silence to keep.
They raised the cross high on the crest of the land,
A figure in anguish, yet perfectly planned.

His eyes, though clouded with human despair,
Saw not just the storm that thickened the air.
He gazed through the veil of the temporal strife,
To an eternal dawn, to unending life.

He foresaw not only his rise from the grave,
But a future where mankind would brave
The infinite void, where stars ignite,
And cradle the seeds of celestial light.

In the wisdom of God, the cosmos unveiled,
With comets of water and asteroids hailed.
Resources unbounded, in space they’d find,
A garden of Eden for all humankind.

And now in his name, this city was wrought,
A testament built from the vision he brought.
On the edge of the heavens, we gather each week,
To seek out the truth, his spirit to seek.

We spin in reverence, a temple of steel,
With an orbiting heart where the faithful kneel.
Our prayers ascend as the structure revolves,
A mystery celestial our faith resolves.

For each sacred turn links the past to the now,
From the hill of the cross to the temple’s vow.
We invoke the portal, Jerusalem's light,
To bridge Earth and heaven in endless flight.

Beneath olive trees where his journey began,
Where he shared his truth with his fellow man.
The supper, the betrayal, the lashes, the thorn,
The tomb left empty on resurrection’s morn.

Each Sunday we gather, in faith and in love,
On the edge of the stars, near the heavens above.
Awaiting the moment, the second ascent,
When mankind’s journey will find its intent.

Through space and time, his promise remains,
A beacon of hope through joys and pains.
In this city of stars, we stand and proclaim,
Eternal life, in his holy name.



(Une scène dans un brunch animé, non loin de l'église, un dimanche matin.)

Neo et Morpheus sont assis à une petite table près de la fenêtre. Leur café, assaisonné d’un discret filet de cognac, laisse échapper un léger nuage de vapeur. Autour d’eux, les conversations murmurent doucement. La plupart des clients sont des voyageurs séjournant dans des Airbnbs voisins, mais quelques locaux semblent fixer la paire de manière subtile, tout en faisant semblant de ne rien remarquer.

Neo brise le silence en posant sa tasse.

Neo :
— Toutes les guerres mondiales naissent de la même source : trop d’argent entre les mains du pouvoir. La Première Guerre mondiale, c’était le résultat de l’industrialisation et de l’enrichissement excessif des capitalistes. La Seconde ? C’était la concentration de ressources gigantesques entre les mains d’un certain Géorgien moustachu, amateur de braquages de diligences.

Morpheus (levant un sourcil, perplexe) :
— On nous a enseigné que c’était une revanche de l’Allemagne, humiliée après la Première Guerre mondiale.

Neo (souriant légèrement, comme s’il dévoilait un secret) :
— Oui, ça aussi. Mais qui alimentait ces ressentiments ? Le même moustachu. Il n’a pas pu dévaliser toute l’Europe comme il l’espérait, mais il s’est bien rattrapé sur la Pologne… Revenons au début. La concentration des ressources, c’est toujours la peur qu’un nouveau tyran moustachu décide de se souvenir de sa jeunesse et de reprendre les braquages de diligences.

Morpheus (nerveux, regardant autour de lui) :
— Je ne veux pas d’ennuis...

Neo :
— Attends. Je t’explique simplement le cours de l’histoire. La Première Guerre mondiale, c’était une mauvaise blague de la peur des élites, devenues fabuleusement riches grâce à la révolution industrielle. Après la Seconde Guerre mondiale, l’Europe a choisi le socialisme pour éviter l’émergence d’un nouveau tyran et pour soulager les élites de leur peur d’un pillage massif. Aujourd’hui encore, elles dissimulent leurs véritables fortunes et dépensent des sommes colossales pour réduire les inégalités.

(Morpheus jette un œil discret vers une table voisine. Les locaux, peu habitués à des conversations aussi intenses un dimanche, semblent plus attentifs qu’ils ne le devraient.)

Neo (plus animé, ignorant délibérément l’atmosphère autour de lui) :
— Cette situation a profité aux régimes du Moyen-Orient. Ils manipulent habilement les peurs des socialistes européens, siphonnant des ressources colossales sous prétexte de calmer les migrants...

(Neo remarque un léger tressaillement à une table proche. Il lève une main, presque en signe d’excuse.)

— Je n’ai jamais dit de quel pays il s’agissait.

(Il continue, plus bas, mais avec une intensité croissante.)

— Le développement de l’intelligence artificielle et des technologies numériques amplifie les revenus des élites, exacerbe leurs peurs face à un nouveau soulèvement, et crée des conditions parfaites pour une montée en flèche des radicalismes. Tout ça grâce à un réseau qu’on pourrait appeler... les miroirs magiques.

Morpheus (fronçant les sourcils) :
— Internet ?

Neo (hochant la tête) :
— Oui, internet. Mais ce mot, les élites ne le ressentent pas émotionnellement. Avec un nouveau nom, la puissance d’internet deviendra évidente et impossible à ignorer. Dans la Russie tsariste, ce même Géorgien devait installer une imprimerie clandestine dans une cave pour produire un maigre tirage de 10 000 exemplaires. Aujourd’hui, dans les miroirs magiques, il pourrait créer des milliards de copies de ses portails communistes vers l’avenir.

(Morpheus regarde fixement Neo, comprenant qu’il est témoin d’une prophétie étrange, presque dérangeante. Il regrette peut-être d’avoir accepté ce café, mais les regards appuyés à la table voisine le convainquent qu’il n’aura pas d’autre choix que d’écouter jusqu’au bout.)

Morpheus (après un silence tendu, posant doucement sa tasse) :
— Et maintenant ? Qu’est-ce que tu essaies de me dire ?

Neo (se penchant légèrement, presque conspirateur) :
— Que le monde est sur le point de basculer. Les réseaux magiques ne sont que le début. Et toi, mon ami, tu es déjà pris dans ce courant.

(Morpheus, déconcerté, sent que ce n’est que le début d’un voyage bien plus profond qu’il ne l’aurait voulu. La scène se fige, laissant en suspens l’écho des prophéties de Neo et le murmure des conversations alentour.)



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¡Gloire à Dieu, qui a accordé la seconde venue et la vie éternelle dans l'infini de l'espace cosmique!



Pax Aeterna


Behold the city in its endless flight,
A ring of life 'neath the stellar light.
It spins and grows, a celestial wheel,
With faith at its core and a truth to reveal.

This city journeys to a distant star,
To proclaim God’s word where new heavens are.
On its surface within, the faithful tread,
In the temple’s glow, where their spirits are fed.

A portal eternal, to Earth it binds,
To Jerusalem's past where history aligns.
Where the Son of Man bore the weight of his fate,
And saw through the ages humanity’s state.

He knew of the cross, of the nails, and the pain,
Yet faltered not, his mission plain.
Through faith unbroken, he saw far and wide,
A future where God’s glory would abide.

The Sun, that ancient Jerusalem warmed,
Now fuels this city, where new rings are formed.
From asteroids mined and sunlight drawn,
New worlds are built, new dawns are born.

For it was here, in this ringed domain,
That the Second Coming broke heaven’s chain.
The Son returned to his cosmic fold,
To reveal the secret long foretold.

Eternal life through God’s design,
In rings of steel where His light shines.
The rings gained speed, broke Earth’s embrace,
And set their course through time and space.

To the stars they sail, with faith their guide,
Proclaiming the story of Him who died.
And rose again, so love might bloom,
Beyond the grave, beyond the tomb.

Each Sunday here, we gather and sing,
In this temple of God, this orbiting ring.
We open the portal to Earth’s holy land,
To Jerusalem’s soil, where Christ made his stand.

But now, as planned, the heavens are rife,
With His eternal, radiant life.
The Second Coming, in cosmic expanse,
Brings humanity’s spirit to its ultimate dance.

From ring to ring, His message flows,
To every star where the gospel grows.
And no matter the journey, no matter the flight,
Each city-ring bears His holy light.

For God sent His Son, salvation’s spark,
To shine in the void, to light up the dark.
His wisdom resounds in our infinite arc,
Guiding our path to celestial marks.

So sing of the rings, of their sacred call,
Of the Son who redeemed and gave life to all.
Let the stars bear witness, the galaxies sing,
For eternity echoes in the rings of the King.

Amen.